vendredi 27 février 2015

Le CV : une arme à double tranchant

Le CV, un document qui est devenu obligatoire pour tout chercheur d’emploi.
Il peut déterminer le sort du candidat. Il peut jouer en sa faveur ou contre lui.
Il est le premier contact entre un demandeur d’emploi et le responsable de recrutement d’une entreprise.
Au départ, on préparait son CV méticuleusement. On essayait d’y mettre son parcours académique et professionnel. On se présente au recruteur avant même de le rencontrer.
Cependant, avec le temps, et parce que l’être humain est une créature qui ne peut jamais se contenter de ce qu’il a, les recruteurs ont commencé à exiger différents types de CV.
De plus en plus d’entreprises n’acceptent plus le CV classique qu’on envoyait. La tendance maintenant est au CV personnalisé, sur mesure, qui change avec le poste et l’entreprise.
Franchement, je trouve cela bizarre. Je ne suis pas experte en ressources humaine, mais je crois que le CV est censé retracé notre parcours dans sa totalité. En examinant le CV complet, le recruteur ne peut qu’avoir une idée plus globale et plus précise sur le candidat.
Tout ceci fait partie de mon point de vue personnel. Je redeviendrai plus objective et je vous parlerai des différents CV, qu’un article publié par un site de recrutement en ligne, dit qu’il faut avoir.
Selon l’article, il faut avoir plusieurs types de CV, en voici quelques uns :
  • Le CV qu’on dépose en ligne : pour ce type de CV enregistrés dans les CV thèque, le candidat a le droit de relater tout son parcours professionnels tout en restant précis et concis. Se perdre dans les détails ne va faire que confondre le recruteur.
  • Le CV qui correspond à une offre d’emploi précise et qu’on envoie pour postuler pour un poste X bien précis : ce type de CV doit reprendre l’intitulé du poste et doit inclure les mots clés principaux relatifs aux missions décrites dans l’annonce.  
  • Le CV qu’on envoie pour une candidature spontanée : pour ce type de CV, les experts conseillent quand même de choisir un intitulé précis et de souligner le caractère polyvalent du candidat.
  • Le CV qu’on publie sur les réseaux sociaux : certaines entreprises attachent de l’importance à la présence en ligne du candidat. Ce dernier doit alors donner une attention particulière au CV qu’il publie sur les réseaux sociaux. Les experts conseillent de présenter les points majeurs de ce qu’on fait et de nos objectifs et de ne pas reprendre l’intégralité de son CV. Le candidat est aussi tenu de s’exprimer en phrases et paragraphes au lieu d’utiliser des puces brèves et très précises.

Pour conclure, quelque soit le type de CV utilisé, il faut rester honnête et éviter d’ajouter à votre parcours des étapes par lesquelles vous n’êtes pas passé. Si elles peuvent séduire un recruteur dans un premier temps, elles le feront fuir lorsqu’il découvrira qu’elles ne sont pas vraies. Aussi compétent qu’un candidat peut l’être, personne ne voudra dans son entreprise de quelqu’un qui n’a pas le sens de l’éthique. On peut toujours former un candidat et lui donner les compétences techniques nécessaires à la mission qu’on compte lui confier. Cependant, toutes les formations du monde ne peuvent pas améliorer l’éthique de quelqu’un qui est malhonnête ou non intègre.
Bonne chance à tous les chercheurs d’emploi. Je sais comme c’est dur de trouver un travail devant l’abondance de la demande et la rareté de l’offre. Persévérez. Vous avez sûrement quelque chose de spécial en vous et vous finirez par trouver le recruteur qui saura valoriser vos connaissances et vos compétences.

jeudi 26 février 2015

Croissance économique : Quels pays feront les meilleurs résultats ?

Croyez-le ou pas, les meilleures performances en matière de croissance économique ne seront pas réalisées par les Etats-Unis ou la zone euro. Elles seront réalisées par des pays africains et asiatiques, au moins pour les deux prochaines années.
Selon les prévisions de plusieurs institutions et organismes internationaux, la croissance mondiale devrait se situer aux alentours de 3.2% en 2015 et connaîtrait une très légère hausse en 2016. Cette croissance mondiale est principalement tirée par certains pays asiatiques et africains comme la Chine, l’Inde ou le Kenya.
 Cependant,  dans un contexte économique morose, l’économie chinoise n’est plus ce qu’elle était. Avec un taux de croissance prévu de 7%, et malgré tous les efforts du gouvernement chinois, elle ralentit et n’affiche plus ses taux à deux chiffres qu’elle réalisait depuis plusieurs années. Ce ralentissement, déjà très palpable en 2014, est aussi l’une des causes de la baisse du prix de pétrole (Lire l'article).
L’économie chinoise est aussi entrain de connaitre de grands changements qui vont très probablement affectés le rôle qu’elle joue dans l’économie mondiale. Au début des années 2000, le monde a connu une très grande vague de délocalisation. Beaucoup d’industriels ont convoité les conditions très avantageuses offertes par la Chine. Abondance de la main d’œuvre et les très faibles salaires, combinés à la réputation qu’ont les ouvriers chinois ont fait que beaucoup d’entreprises se délocalisent en Chine, malgré l’éloignement et les problèmes logistiques qui pouvaient se poser. Actuellement, les conditions de travail en Chine sont entrain de s’améliorer. L’ouvrier chinois aura lui aussi un SMIG et les firmes étrangères ne pourront plus bénéficier de l’un des plus grands avantage de la délocalisation en Chine. De plus, les problèmes liés au secteur immobilier, qui s’est trouvé en surcapacité face à la limitation imposée sur le nombre de logement acquis, et la politique de la planification familiale et le principe de l’enfant unique affectent également la progression économique de ce pays.
Pour sauver l’économie chinoise et par conséquent la croissance mondiale, le gouvernement a entrepris un certain nombre de mesures notamment la baisse du taux directeur pour redynamiser l’économie. La chine a aussi commencé à véhiculer un nouveau message. Après s’être liée à la quantité, l’économie chinoise se plait maintenant à dire qu’elle fait moins mais elle fait mieux.
La Chine ralentit c’est vrai mais d’autre pays gagnent en puissance. Si la Chine a joué le rôle du locomotive pour la croissance mondiale, il est possible que se rôle sera très bientôt joué par un autre pays asiatique qui est l’Inde. Les pays africains peuvent aussi s’améliorer dans le classement des pays qui affichent une bonne croissance mondiale mais à condition de résoudre les problèmes qui freinent leur développement surtout le manque d’infrastructure et l’instabilité politique.

mercredi 25 février 2015

Décompensation du gaz butane, du sucre et de la farine : le gouvernement marocain va-t-il franchir le pas ?

Difficile de passer à côté du sujet. Ce matin, la presse écrite marocaine a publié plusieurs articles touchant un point très critique pour les marocains, celui de la décompensation de certains produits de base.
Après la décompensation et l’indexation des produits pétroliers sur les cours internationaux, le consommateur marocain va-t-il se voir dans l’obligation de payer la totalité du prix du gaz butane, du sucre et de la farine ? La presse a reporté que des sources au sein du ministère de l’économie et des finances n’excluent pas cette possibilité. A partir de 2016, les trois produits essentiels au quotidien du citoyen marocain se verront décompensés.
Les citoyens marocains ne peuvent que se réjouir pour cette année de répit. Le gouvernement semble reporter la décision de décompenser ces produits de première nécessité à cause des élections communales et régionales prévues en 2015. Il attend aussi les résultats de certaines études et du recensement de 2014. S’il est bien décidé à arrêter ses subventions, l’Etat veut cibler les populations fragiles et nécessiteuses qui seront impactées par une telle décision. Il n’est pas exclut que ces catégories feront l’objet d’une aide directe qui leur permettra d’amortir le choc relatif à l’augmentation des trois produits de base.
Pour le moment, rien n’est encore officiel. Cependant, cette décompensation est en quelque sorte attendue. Le Maroc est entré dans un grand chantier de réforme afin de rétablir ses équilibres macro-économiques. Le FMI, le taux d’endettement du pays et l’état de sa balance commerciale obligent le Maroc à entreprendre certaines mesures, douloureuses certes, mais nécessaires afin de rétablir l’équilibre et éviter au pays de franchir certaines lignes rouges qui auront un impact sur sa notation et son coût d’endettement.
Pour le moment, on ne peut que pratiquer le « Wait and See » et attendre les développements de ce dossier « très chaud » et très critique pour le gouvernement marocain. 

mardi 24 février 2015

Pétrole : une arme puissante dans la guerre des prix et de parts de marché

Le pétrole, l’or noir, l’élément indispensable à toute industrie, le très précieux liquide qui fait tanguer, positivement ou négativement, la  balance commerciale des pays est le sujet de l’article de cette semaine.

On comprend tous l’importance et l’effet du pétrole sur l’économie mondiale et sur la politique. A part son rôle de carburant pour l’industrie, le pétrole a été utilisé comme une arme pour faire pression sur l’une où l’autre partie pendant les guerres. A titre d’exemple, je cite l’embargo de 1973. Pendant la guerre de Kippour, et pour des raisons politiques, les pays arabes membres de l’OPEP ont lancé un embargo pétrolier contre les pays qui soutenaient Israël. Face à l’intervention américaine dans cette guerre entre les pays arabes et Israël, les principaux producteurs de l’or noir ont décidé d’augmenter le prix du baril de brut, de réduire la production et d’instaurer un embargo sur leurs livraisons de pétrole destinées à certains pays européens et aux Etats-Unis d’Amérique.
Ce petit rappel historique a pour but de nous montrer que lorsqu’il s’agit de pétrole, la situation peut être compliquée et comprend des considération qui ne sont pas toujours d’ordre économique. La politique a aussi son mot à dire.
Actuellement, les prix de pétrole sont en baisse continue. Ils ont atteints des niveaux si bas, qu’il est difficile de croire qu’il s’agit toujours du même carburant qui hante les pays importateurs au moment d’établir leur budget annuel et qui menace les équilibres financiers très fragiles de certains pays non producteurs.
En 2008, le pétrole a connu une augmentation de prix vertigineuse. Inférieurs à 60 dollars le baril de brut les prix ont grimpé en quelques mois et ont même dépassé les 130 dollars pour retomber  par la suite avant de grimper à nouveau. Cette variation à la hausse des prix de pétrole a impacté très négativement l’équilibre budgétaire, la balance commerciale et les réserves en devises des pays importateurs. Beaucoup se sont endettés pour pouvoir s’approvisionner en liquide noir. Industrie et consommation ménagère obligent.
Cependant, depuis 2014, les prix du pétrole sont en chute libre. Ainsi, le prix du baril du brut est descendu en dessous du seuil de 100 dollars et menace de baisser encore plus suite au ralentissement de la croissance de certains pays comme la Chine ou l’Union Européenne et la décision des pays producteurs de ne pas baisser la quantité produite, même si le prix du baril descend pour atteindre 20 dollar. A cela s’ajoute l’appréciation du dollar qui a poussé certains pays à réduire leur approvisionnement en pétrole et à tirer vers le bas la demande pour cette matière.
Cette situation qui fait le bonheur des importateurs et leur permet de reprendre leur souffle, n’a pas le même effet sur les pays exportateurs. Si certains arrivent à encaisser le coup et à tenir face à cette baisse des prix, d’autres le font moins. Et si cette baisse de prix est combinée à des sanctions et à des tensions diplomatiques, comme pour le cas de la Russie, son impact devient plus palpable et plus dangereux pour les équilibres macro-économiques du pays.
Puisqu’il y a certains producteurs dont le budget supporte très mal cette situation, pourquoi ne pas baisser la production pour stabiliser les prix ?
La réponse avancée par plusieurs analystes lie cette guerre des prix à une guerre de parts de marché. Les exportateurs veulent conserver leurs parts de marché devant l’apparition d’un nouvel concurrent qui est le pétrole de schiste exporté par les Etats-Unis et la réapparition de la Libye comme pays exportateur de l’or noir.  Pour le moment, le plus grand perdant de cette guerre sont les Etats-Unis car le coût du pétrole de schiste (aux alentours de 60 dollars) est supérieur à celui des autres exportateurs  et ne peux pas supporter une baisse en dessous de 40-50 dollars.
Pour le moment, personne ne peut prévoir l’évolution des prix du brut. Plusieurs facteurs sont présents pour rendre biaisée toute tentative de prévision. A l’état actuel des choses, et devant des Etats-Unis qui ne comptent pas baisser sa production et une reprise très lente de la croissance mondiale, on peut dire que cette baisse des prix va encore continuer, du moins dans le court terme.

lundi 23 février 2015

Haute couture : au nom de la marque, tout est permis

Hier, le 22 février, a eu lieu la 87ème cérémonie des Oscars à Los Angeles. En regardant les photos des différentes célébrités venues assister à la cérémonie que je me suis dite : il est temps que je dédie un article au monde de la mode et de la haute couture.
Si la cérémonie des Oscars m’a permis de décider pour le sujet de mon article, l’idée germait dans ma tête il y a quelque temps déjà. Certains de vous ont surement entendu parler de ce créateur qui s’est fait parlé de lui en organisant un défilé ou ses mannequins masculins portaient des costumes très originaux, qu’une ignorante du monde de la haute couture comme moi ne peut qualifier que de haillons. L’état et le design des habits n’est pas le seul élément choquant du défilé. Si les mannequins ont bien couvert la partie supérieure de leur corps, ils ont oublié de faire autant pour la partie inférieure, permettant au spectateur de profiter à la fois des habits originaux et d’un cours d’anatomie pour les nuls. Sympa l’idée. Combiner la haute couture à l’apprentissage. Ce n’est vraiment pas donné à tout le monde.


En regardant les photos des différentes stars venues assister à la cérémonie d’hier, j’ai commencé à me demander : qu’est-ce que ces robes, ces chaussures et ses accessoires ont de spécial pour qu’elles coûtent aussi cher ? Je ne suis pas une experte dans le monde de la haute couture, mais je ne crois pas quand même que la qualité ou le design, pas souvent original et réussi, d’un tel ou tel produit peut expliquer le prix exorbitant auquel on le vend. Je me suis aussi demandé comment un simple nom, associé à un article, peut multiplier son prix par 10000. Peut être aussi c’est le nom du créateur combiné à la consommation « ostentatoire » qu’on les célébrités qui a fait qu’une robe ou un sac se vendent à ces prix faramineux.
Je me suis sentie encore confuse, en voyant certains modèles, comme celui porté par Lady Gaga. Elle a réussi à faire le buzz avec des gants qui ressemblent à ceux utilisés pour faire la vaisselle et m’a amené à me poser des questions sur le prix d’un tel « chef d’œuvre » et la créativité de certains modélistes qui peut choquer parfois. Cela n’est pas étonnant de la part de Lady Gaga, mais encore une fois je me demande qu’elles sont les raisons cachées qui peuvent pousser une personne à dépenser une petite fortune pour un look pareil.
Comme je l’ai mentionné au début de mon article, je ne suis pas experte dans le domaine, cependant je ne crois pas que la nature et le coût de la matière première ou même la complexité des ouvrages sont derrière les prix exorbitants pratiqués dans le monde de la haute couture. Je trouve queles prix sont plus une réponse au besoin psychologique d’afficher sa richesse et son statut social. Peut-être je me trompe, mais je n’arrive à trouver aucune autre explication à ce phénomène. C’est fou l’argent qu’on peu gagner grâce à son simple nom et c’est encore plus fou ce que les gens sont prêts à dépenser pour porter une robe d’un tel ou tel nom ou marque.

Décidément, je ne comprendrai jamais le monde de la haute couture, ni la nature humaine, très complexe et mystérieuse.

samedi 21 février 2015

Maroc : La nouvelle loi concernant les ex Marocains Résidents à l’Etranger (MRE) a enfin été adoptée

Le Maroc a décidé de procéder à la régularisation de la situation de ces citoyens qui étaient dans le passé des « Marocains du monde » et qui sont maintenant dans l’irrégularité sans qu’ils le sachent.
Afin de procéder à cette régularisation, une nouvelle loi vient d’être votée. La nouvelle loi, qui veut alléger et simplifier l’ancienne, stipule que les ex « Marocains du monde » qui rentrent au Maroc de façon définitive ou provisoire doivent effectuer une déclaration auprès de l’Office des changes marocain, détaillant tous les avoirs qu’ils détiennent à l’étranger. Le délai de cette déclaration est d’un an. Il court à partir de la publication de la nouvelle loi dans le bulletin officiel.
Il est aussi informellement interdit de continuer à alimenter les avoirs détenus à l’étranger moyennant des transferts depuis le Maroc. Ceux qui se voient dans cette situation doivent régulariser leur situation en payant une amende transactionnelle pour la composante de leurs avoirs. Cette condition ne s’applique pas aux anciens marocains résidents à l’étranger qui détiennent des avoirs dans un autres pays et qui continuent à les alimenter à partir de fonds qui sont entièrement de sources étrangères. Les MRE figurants dans cette catégorie sont tout simplement tenus de faire une déclaration auprès des autorités compétentes. Ils ont le choix entre le rapatriement de leurs fonds et avoirs et leurs conservations à l’étranger. En cas de rapatriement, et à condition de prouver l’origine des fonds, le MRE n’est tenu de payer aucune amende ou contribution libératoire.
La nouvelle loi va permettre à plusieurs marocains résidents à l’étranger de rentrer à leur pays sans crainte pour leurs biens. Plusieurs ex MRE refusaient de quitter leur pays d’accueil à cause justement de l’ancienne loi pour les MRE, trop rigide et trop contraignante.
L’amnistie sur les avoirs détenus à l’étranger, la nouvelle loi concernant les ex MRE, l’augmentation du montant de la dotation touristique et bien d’autres changements sont entrepris par le gouvernement marocain et l’Office des changes pour simplifier et assouplir un régime qualifiés par beaucoup de rigide et sévère.
A la bonne heure pour les anciens Marocains du Monde qui peuvent enfin rentrer tranquillement chez eux.

vendredi 20 février 2015

Le microcrédit : un mode de financement et une arme contre la pauvreté

Le microcrédit est un moyen de financement présent dans beaucoup de pays. Son objectif est de favoriser la création d’emploi et lutter contre la pauvreté surtout pour les couches sociales en milieu rural ou celles qui ont beaucoup de mal à accéder à d’autres moyens de financement.
Ainsi, les organismes du microcrédit sont devenus un élément important pour l’économie vue leur impact sur le développement de micro projets au niveau local. La majorité des bénéficiaires de ce genre de crédits sont des femmes. Pour beaucoup d’entre elles, les petites sommes prêtées ont permis un grand changement de leur situation et une entrée d’argent qui ne peut que faire la différence pour des familles vivant dans la précarité.
Cependant, il ne suffit pas d’accorder des microcrédits. Parfois, les bénéficiaires ont besoin d’une sorte d’accompagnement et d’encadrement pour pouvoir réussir leurs projets. Il ne faut pas oublier que les emprunteurs sont en général des personne ordinaires disposant d’une idée ou d’un métier mais qui n’ont pas forcément les connaissances et les compétences nécessaires pour pouvoir mener leurs projets à bouts et réussir leurs affaires. Cet accompagnement est encore plus nécessaire si les organismes prêteurs veulent récupérer leurs capitaux et les gains qui vont avec. Un client dont l’affaire ne marche pas est un client qui aura beaucoup d’impayés ou qui sera complètement incapable de rembourser son emprunt.
Les organismes de microcrédit doivent aussi revoir leur taux à la baisse. Si l’objectif est de favoriser le développement local d’une certaine catégorie sociale et l’amélioration de la situation de personnes qui sont dans le besoin, il ne faut pas vider ce moyen de financement de tout sens en oubliant sa finalité et en surchargeant l’emprunteur. Il faut raisonner avec une logique de coopération pour que le particulier puisse réaliser son projet et l’organisme de financement récupérer son capital et ses intérêts.
 Les microcrédits peuvent être un véhicule du développement social et économique. Ils ont un but lucratif mais surtout un but social. Ce but social ne doit jamais oublié devant le désir de réaliser du profit car si les microcrédits ont faits des success stories, ils ont aussi ruinés des familles qui se sont trouvées noyées dans les dettes et incapables d’honorer leurs obligations.

jeudi 19 février 2015

McDonald’s, entre la chute des ses ventes et ses efforts pour se réinventer

Il existe certaines grandes entreprises qu’on aurait jamais pu croire qu’un jour elle aura des difficultés financières ou que ses profits vont chuter. Ces entreprises présentes dans les quatre coins du monde sont devenues des success stories et la fierté de leur pays d’origines.
Parmi ces entreprises qui ont su se faire des consommateurs dans les cinq continents, on trouve McDonald’s, l’un des plus importants symboles du capitalisme américain.

Avec son clown souriant, McDonald’s a envahit le monde et a même contribué à changer les habitudes alimentaires dans plusieurs régions du monde. Dans certains pays, il est même un prestige d’aller manger à McDonald’s. Si aux Etats-Unis la chaîne de restauration sert des repas rapides pour des consommateurs pressés, dans d’autre pays, l’enseigne américaine est signe de prestige et un lieu où les amoureux se donnent rendez-vous.
Cependant, depuis une année déjà, McDonald’s n’est plus ce qu’elle était en matière de succès. Ses revenues ont tellement baissé au point de d’arriver au licenciement. Dans les temps difficile, il faut toujours quelqu’un pour porter le chapeau de l’échec.
La question qui se pose d’elle-même est pourquoi cette baisse de revenu chez McDonald’s ?
Les raisons avancées sont multiples. La première est liée à l’hygiène des produits McDonald’s. Dans plusieurs pays asiatiques, le géant américain a dessus ses consommateurs. Ici, on a découvert un fournisseur qui vend de la viande contaminée. Là-bas les clients on été horrifiés par des morceaux de plastiques trouvés dans leur commandes. Bref, on commence à craindre pour sa santé lorsqu’on va manger chez McDonald’s.
La deuxième cause des problèmes financiers de la chaîne de fast-food vient de la concurrence féroce à laquelle elle doit faire face. Plusieurs enseignent se sont apparus et gagnée de notoriété obligeant la marque au clown d’entrer dans une guerre de part de marché. Des parts de marchés qui commencent à se réduire devant des clients qui préfèrent l’offre de la concurrence qui est de meilleurs qualité, moins chers ou encore plus personnalisée.
McDonald’s passe par des temps relativement difficile. La marque américaine n’est pas restée les bras croisés. Elle essaye d’attirer de nouveaux clients grâce à des publicités originales (Lire l'article). Mais surtout, l’entreprise essaye de se réinventer et de s’inspirer de ses concurrents afin de satisfaire des clients dont les attentes et les exigences ont changés.
Bonne chance pour McDonald’s dans ses efforts pour changer. Le chemin ne sera ni court ni facile.

mercredi 18 février 2015

La reprise de l’économie américaine et son rôle de locomotive de la croissance mondiale.

L’article de la semaine arrive avec une journée de retard et va vous parler de la reprise économique aux Etats-Unis d’Amérique.
Si la Chine s’essouffle et la Russie est en pleine difficulté, dans la région du Moyen-Orient, Afrique du Nord et dans certains pays asiatiques la croissance tend à reprendre son dynamisme et à se stabiliser après avoir connus beaucoup de perturbations ces dernières années. La zone euro se reprend en main mais un rythme plus lent que ce qui a été prévu et espéré par ses pays. La seule exception est l’Allemagne, ce pays fascinant auquel j’ai consacré l’article de la semaine dernière.(Lire l'article)
Dans cet environnement où tout le monde essaye de retrouver ses repères et améliorer sa croissance économique, l’économie américaine est entrain de sortir de la crise qui l’a affectée pendant quelques années et de redevenir l’une des locomotives de la croissance mondiale, avec un taux de participation qui s’approche de 3%. C’est sa plus large contribution depuis la crise financière de 2008.
La prospérité de l’autonomie américaine est due avant tout à son autonomie. Elle ne dépend pas des autres pays et par conséquent, les crises ou les difficultés de ses partenaires commerciaux ne peuvent pas avoir un grand impact sur elle. Les Etats-Unis ont aussi pu réduire le taux de chômage à moins de 6%. Cette amélioration de l’emploi, combinée à une augmentation des salaires, ne pourra qu’augmenter la consommation des ménages et dynamiser l’économie américaine.
La banque centrale américaine a enfin cessé ses injections de liquidité. Cependant, le rétablissement de la santé de l’économie américaine n’est pas fait à 100% et la banque centrale pourrait se voir obligée de continuer à supporter l’économie pendant un certain temps en maintenant les taux proches de zéro même si tout laisse croire que cette période de convalescence ne sera pas longue.


Les Etats-Unis ont même changé leur politique en ce qui concerne l’exportation du pétrole. Les entreprises américaines ont la possibilité d’exporter leur production. Une décision qui arrive en pleine guerre de prix entre les producteurs de pétrole pour conserver les parts de marchés. Je suis très curieuse de voir comment cette guerre de prix va évoluer et comment les Etats-Unis vont réagir car pour le moment, ils sont les plus grands perdants. Le coût de production de leur pétrole dépasse de loin celui des autres pays qui agissent dans le marché depuis des années.
L’économie américaine a évolué malgré la récession causée par la crise financière alors que d’autres pays du monde ont encore du mal à le faire. Les Etats-Unis ont réussi mieux que les autres pour des raisons qui reviennent principalement à la différence des fondements théoriques de la politique américaines et des caractéristiques de leurs stratégies.
La première raison de la reprise américaine est la reprise de la consommation intérieure. Comme je l’ai déjà mentionné, la banque centrale a maintenu des taux proches de zéro afin d’encourager la consommation. Et qui dit consommation, dit aussi relance de la production et de l’investissement.
La reprise américaine est aussi due à des mesures fiscales qui ont favorisées l’augmentation des recettes de l’Etat. Cette amélioration des revenus fiscaux est due à l’augmentation de certains taux d’imposition.
La reprise a été également favorisée par la maîtrise des dépenses publiques, l’assainissement des finances publiques et le remboursement des montants des prêts accordés par l’Etat pendant la période de la crise. Les Etats-Unis ont aussi mis en place des mesures favorisant les entreprises américaines sur les entreprises étrangères en matière d’appel d’offres pour encourager l’investissement et résoudre le problème du chômage.
A la différence des autres pays touchés par la crise, les Etats-Unis non pas hésités à prendre des mesures audacieuses sans se préoccuper de leurs effets immédiats sur le bilan. Ils ont continué à supporter l’économie au lieu d’adopter une politique caractérisé par l’austérité budgétaire.
Comme conclusion à cet article, on peut dire que l’économie américaine doit ses performances actuelles à plusieurs facteurs. De plus de l’intervention de l’Etat et de la banque centrale, l’économie américaine a su profiter des prix bas de l’énergie pour redynamiser l’investissement et l’industrie. Elle doit également sa survie à la grande capacité d’adaptation et de réactivité des entreprises américaines. Les autres économies qui sont toujours en difficultés doivent peut-être s’inspirer du modèle américain pour relancer la croissance de leur pays et sortir du gouffre de la crise économique.

lundi 16 février 2015

Recrutement : vers une relation win-win entre recruteur et recrutés

Selon un article du figaro, il y a eu un grand changement quant aux attentes des jeunes diplômés français en matière de travail. Une évolution qui, à mon avis, commence à toucher plusieurs pays, pas seulement la France.
Selon l’article, les recruteurs qui utilisent toutes les possibilités offertes par Internet, y compris les médias sociaux, ont un net avantage par rapport aux autres qui optent pour une approche plus traditionnelle. Les candidats préfèrent avoir la possibilité d’échanger et d’être accompagnés par de vraies personnes afin de se renseigner sur l’entreprise et déterminer si le poste proposé correspond à leurs attentes. Ils préfèrent aussi des sites pour postuler qui soient pratiques et pas compliqués. Ils n’hésitent pas à visiter les sites de classement d’entreprises afin de connaitre les avis des autres sur leurs employeurs potentiels. Bref, les candidats ne sont plus ce qu’ils étaient. Ils ont leurs critères et exigences et les employeurs sont désormais obligés de s’adapter aux attentes de leurs nouvelles recrues potentielles.
C’est un grand changement par rapport aux méthodes employées par le passé, et qui sont toujours à la mode dans certains pays. Le recruteur était, et l’est toujours parfois, le détenteur du pouvoir absolu et c’est aux candidats de se plier à ses conditions.
La nouvelle génération de diplômés est une génération web qui n’aime pas la complication. La vie et les temps modernes ont imposé leur rythme, même pour le recrutement. Fini le temps ou un recruteur pouvait se permettre de faire la pluie et le beau temps et les candidats, parce qu’ils ont besoin d’un travail, doivent se plier à ses volontés. La relation entre recruteur et recruté va, à mon avis, dans le sens d’une relation win-win. Personne ne fait plaisir à l’autre. Si le candidat a besoin de gagner sa vie, le recruteur a, lui aussi, besoin des compétences adéquates afin que son business prospère et son chiffre d’affaires augmente.
Certains recruteurs ont bien saisi ce changement, ils s’adaptent pour être proches de leurs candidats. D’autres entreprises, toujours dans leur tour d’ivoire de laquelle ils ne veulent toujours pas descendre, refusent de voir les évolutions du marché de l’emploi au risque de laisser filer des compétences qui, si recrutées, auraient été un plus pour leur business.

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dimanche 15 février 2015

La Saint-Valentin : Quand l’amour se commercialise.


Hier, le 14 février, était une journée spéciale pour les amoureux dans plusieurs pays.
Hier, beaucoup de couple ont échangé des cartes avec des mots doux, des cadeaux ou des roses rouges qui symboliser leur passion.
C’est bien de fêter l’amour. Mais, est-ce que le fait  d’échanger des cadeaux ou débourser une somme coquette pour un diner romantique est vraiment le bon moyen de fêter ou prouver son amour ?
Au moyen âge, la Saint-Valentin a été associée à l’amour romantique. Au 21ème siècle, la Saint-Valentin est devenue associée plus aux cadeaux, aux roses, aux soirées romantiques, etc. Comme quoi, on ne peut plus fêter l’amour gratuitement et qu’il faut dépenser pour prouver sa passion. Cette fois-ci, il faut bien dire que le bonheur des uns, fait le bonheur des autres et par les autres, j’entends toutes les entreprises que la saint-valentin aide à faire bouger leurs affaires.
Bien avant le grand jour, celui du 14 février, on voit partout des magasins décorés en rouge. Les fleuristes composent leurs plus beaux bouquets rouges pour séduire les amoureux et les pousser à acheter. Même l’industrie textile trouve son bonheur puisque beaucoup aiment porter des habits rouges pour exprimer leur passion.  Sur certaines chaines, on passe même des émissions pour montrer ce qui a été préparé pour la Saint-Valentin avec toute une panoplie de cadeaux pour prouver son amour. Et malheureux, oui malheureux, celui qui ne suit pas le courant et n’offre rien à sa dulcinée en cette journée spéciale. Comment s’attend-il à ce qu’elle croit à la sincérité de ses sentiments s’il ne lui achète rien alors que partout dans le monde, on offre de jolis paquets emballés de rouge pour montrer sa passion. Je parle de sa frustration à elle car ce sont les filles qui, en général, se sentent offusquées s’il n’y a aucune preuve concrète d’amour le jour du 14 février.
Ainsi,  les entreprises ont su utiliser cette vieille coutume d’origine païenne, pour faire un joli chiffre d’affaires. Elles ont très bien su rendre la Saint-Valentin une manifestation commerciale de l’amour. Elles ont réussi à associer « on tient à moi » avec « on m’offre quelque chose ». Envoyer des cartes est devenu le minimum acceptable dans cette journée très spéciale.
Peut-être cela ne s’applique pas à tout le monde, mais il faut l’admettre, la majorité le font. Vaut mieux ouvrir sa bourse que décevoir sa moitié. Les publicités et les vitrines des magasins sont là pour le lui rappeler.
C’est beau de fêter l’amour. Mais c’est malheureux de tout monétiser, même les sentiments.  

samedi 14 février 2015

Quand le dollar devient plus musclé !

Après McDonald’s, Coca Cola et PepsiCo, les deux rivales éternelles ne vont plus bien.
Vous avez bien lu. Les deux géants des « fizzy drinks » ont vus leurs revenus chutés pour le dernier semestre de 2014.


Si certains de vous vont avancer le changement du régime alimentaire de beaucoup de gens comme cause de cette baisse, je peux leur dire qu’ils ont raison. Les gens sont devenus de plus en plus soucieux de ce qu’ils mangent. Le taux de personnes voulant vivre une vie saine et équilibrée augmente de plus en plus. Beaucoup ont peur de devenir obèse et de développer des maladies dont la cause principale est l’alimentation.
Cependant, ce n’est pas la seule et la principale raison.
Surement vous avez entendu que dernièrement, il y a eu une appréciation du dollar. Ce qui veut tout simplement dire que le dollar est devenu plus fort.
Si cela a de quoi réjouir les importateurs qui font des échanges commerciaux avec les Etats-Unis, d’autres entreprises souffrent vraiment des conséquences d’un dollar plus musclé.
Ainsi, Coca Cola et PepsiCo, dont les revenus proviennent non seulement des ventes sur le territoire américain, mais de celles réalisés dans tous les pays du monde, ont venu leurs profits chutés. C’est normal parce que les ventes réalisées en monnaies nationales, perdront beaucoup de leur valeur une fois converties au dollar. Un vrai casse tête pour les entreprises qui réalisent des opérations à l’international. De plus, les marges des boites américaines se trouvent affectées par l’augmentation de certains de leurs coûts à cause, encore une fois, de l’appréciation du dollar.
Si cette baisse de profits continue de la sorte, je me demande comment les grandes firmes américaines vont réagir. Vont-ils sortir de nouveaux produits qui, grâce à un jeu de design et une bonne compagne publicitaire, augmenteront le chiffre d’affaires réalisés sur le territoire américain ? Ou vont-ils faire pression sur la réserve fédérale  afin qu’elle revoit sa politique monétaire et sa décision d’appréciation du billet vert ?
Difficile de se prononcer pour le moment. On ne peut que regarder et attendre.

vendredi 13 février 2015

Apple se soucie des conditions de travail de toute sa chaine de valeur.

Décidément Apple est l’entreprise de la semaine.
Elle se fait parler d’elle par ses actions et décisions qui veulent prouver que son objectif n’est pas  seulement la réalisation de profit mais aussi, le respect de l’environnement et des conditions de travail des employés, tout au long de sa chaine de valeur.
Dans mon premier article consacré à Apple, j’ai parlé de sa décision d’utiliser les énergies renouvelables pour alimenter ses opérations en Californie (Lire l'article). Une décision que je salue et que je souhaite qu’elle soit adoptée par d’autres entreprises.
Aujourd’hui, je reviens avec une autre nouvelle de Apple, celle d’exiger de ses fournisseurs de payer les frais de recrutement de leurs nouveaux employés, au lieu de les laisser à la charge des nouvelles recrues. Ces frais de recrutement sont finalement supportés par Apple et le fournisseur ne fait que jouer son rôle d’intermédiaire. Si Apple accepte de prendre à sa charge ces frais, elle refuse qu’ils soient incombés aux employés.
Apple se soucie des conditions de travail de ses employés non seulement aux Etats-Unis, mais dans toute sa chaîne de valeur. Elle veut que l’environnement de travail soit sain et que les employés ne soient pas forcés à travailler des heures supplémentaires sans être payés. L’entreprise donne beaucoup d’importance aux droits des employés, leur sécurité et leur formation.
La décision de Apple vient après les critiques qu’on a fait au géant américain concernant les conditions de travail, surtout en Asie où il est très connu que les grandes entreprises s’implantent pour bénéficier des lacunes dans les droit des employés et de l’absence d’exigences en matière d’environnement de travail et de sécurité.
Apple a décidé de mettre fin à toutes ces critiques en travaillant en continue à l’amélioration des conditions de travail de toute personne impliquée dans sa chaine de valeur.
Apple veut prouver à tout le monde qu’elle se soucie des conditions de travail de ses collaborateurs. C’est une très bonne chose à mon avis. Je vois parmi vous quelques sceptiques qui se disent mais c’est une politique marketing parce qu’elle veut dorer son image et éviter que ses produits soient boycottés.
Mes lecteurs sceptiques, vous avez peut-être raison, mais à mon avis, cela n’empêche pas que les employés vont bénéficier de toutes ces mesures entreprises. Politique marketing ou pas, le plus important c’est de se soucier des gens qui travaillent pour nous. Nous avons tous lu ou entendu parler des usines asiatiques et de l’exploitation des ouvriers, qui sont parfois des enfants, des mineurs qui doivent être à l’école et non pas dans une usine, entrain d’assembler un appareil ou coudre un T-shirt.
Le monde n’est plus ce qu’il était autre fois. L’accès à l’information a rendu les consommateurs plus conscients des conditions dans lesquelles se fabriquent leurs produits préférés. Devant les cris d’indignation qui se lèvent ici et là et le risque de perdre ses clients, les entreprises commencent à se soucier plus des conditions dans lesquelles leurs produits sont fabriqués. A la bonne heure pour ces employés qui, à travers le monde, se voyaient leurs droits bafoués. Comme je dis toujours, rien ne reste caché à l’infini et si une entreprise ne veut pas voir ses ventes chuter et ses clients changer de fournisseur, elle n’a qu’à faire les choses dans les règles de l’art.

A bon entendeur, salut !

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jeudi 12 février 2015

Tuer au nom de la religion

Aujourd’hui, est l’un de ses jours où je vais oublier le thème principal de mon blog et vous parler d’un sujet très loin du monde des entreprises et des affaires.
Aujourd’hui, j’ai choisi de vous parler du crime de Chapel hill, de Muath Al Kasaesbeh, de Charlie Hebdo, des génocides en Afrique ou en Asie, de l’holocauste… Bref, de tous ces crimes commis au nom de la religion ou parce qu’on n’aime pas ou on ne croit pas à une religion. Quelque soit le cas, il y a toujours le mot religion qui est utilisé pour justifier qu’on tue alors qu’en réalité le tueur ne fait que ressortir le mal qu’il a chez lui et sa perversité qu’il ne peut plus cacher.
A travers l’histoire, la religion a été la raison avancée aux millions de croyants par des dirigeants avides de pouvoir pour légitimer les guerres qu’ils déclarent et les génocides qui ne pourraient pas être acceptés autrement. La religion est devenue un habit sur mesure que l’on porte à chaque fois qu’on veut commettre un acte ignoble et qu’on a besoin du soutien de la masse pour le réussir.
On a toujours malmené  la religion alors que depuis l’arrivée de ses messagers, elle n’a jamais incité à la haine ou à la guerre. Noah, Moise, Jésus, Mohamed et des centaines d’autres hommes portant la parole de Dieu ne se sont jamais amusés à jouer à la guerre, sauf quand il le fallait. La parole de Dieu a toujours prôné la paix et la tolérance. Se défendre, défendre sa patrie et ce qui est cher ont été les cas où une personne peut prendre son arme et combattre, et encore avec des conditions comme l’interdiction formelle de tuer les femmes, les vieux et les enfants. Ironie du sort, ceux mêmes que la religion a épargné, sont tués, crucifiés et vendus aujourd’hui, par certains, au nom de la religion ou des interprétations et de la compréhension très personnelle qu’ils ont de la religion et de ses principes.
Comme je l’ai déjà dit dans mon article ("Si possible pas juif": Quand le recrutement ne se fait plus sur la base de la compétence) (Lire l'article), la religion est un lien personnelle qui lie la personne à son Dieu. C’est un lien personnel et spécial et surtout privé. Ce lien ne doit jamais empêcher la bonne entente entre des personnes de croyances différentes. Que je porte une kippa ou que mon prophète soit Mohamed, Que je prie devant un crucifix ou que je croix à la science comme maître de l’univers, cela ne doit pas nous empêcher de vivre en harmonie et en paix. Cela ne doit pas nous empêcher de vivre ensemble, de se côtoyer et d’être de bons amis, de bons voisins ou de bons collègues qui se respectent et qui respectent la différence de l’autre.
La haine, le terrorisme n’ont ni race ni religion. Ouvrons les yeux, condamnons tout acte commis par des malades au non de la croyance ou de la non croyance.
A toute personne qui veut prendre la religion comme motif pour ses crimes je dis que Ma religion ne regarde que moi et qu’il est temps de trouver des prétextes plus plausibles si vous voulez justifier votre nature malade et perverse qui vous pousse à massacrer les innocents.
Cessons cette hypocrisie et éradiquons la vraie source du mal. La religion en a assez de vos accusations et de votre lâcheté.

mercredi 11 février 2015

Apple, une entreprise amie de l’environnement

Apple a décidé d’opter pour l’énergie solaire pour alimenter toutes ses opérations basées en Californie, USA.
La firme a la pomme croquée a désormais plus que le logo pour la lier à la nature et à l’environnement. En effet, le géant américain a décidé d’investir 850 millions de dollars pour la construction d’une station d’énergie solaire destiné à alimenter toutes les opérations de l’entreprise en Californie.
Selon Tim Cook, PDG de Apple, cette décision est motivée par l’intérêt que porte Appel aux problèmes de changements climatiques. Pour le numéro 1 de Apple, il ne s’agit plus de parler mais d’agir. De plus, cette nouvelle source d’énergie permettra à Apple de réaliser des économies en matière de dépenses énergétiques. (Forbes, 10 février 2015)
Apple n’est pas à sa première expérience en matière d’énergies renouvelables. Elle utilise déjà des énergies propres pour alimenter ses centres de données. Mais jusqu’à maintenant, elle n’a rien entrepris d’aussi grand.
Cette initiative prise par Apple devrait être imitée par les autres grandes sociétés et multinationales qui ont les moyens d’investir dans les énergies renouvelables. L’état de notre planète devient inquiétant. De par le monde, les scientifiques sonnent l’alarme et appellent à la prise de mesures urgentes afin de sauver cette planète sur laquelle nous vivons et sans laquelle il n’y aura plus d’avenir pour la race humaine.
Au lieu de penser à des projets de science fiction et d’étudier la possibilité d’aller vivre sur d’autres planètes, pourquoi ne pas économiser le temps, l’énergie et surtout l’argent et entreprendre certaines actions qui sont en mesures de sauver notre planète.
Si l’environnement n’a aucun intérêt pour les entreprises et les gouvernements, qu’ils pensent au moins aux économies qu’ils peuvent réaliser en matière de dépenses énergétiques. Qu’ils pensent aussi à l’impact qu’aura une telle décision sur le prix de leurs actions. Les entreprises qui sont « environmentally friendly » sont très bien vues par leurs actionnaires actuels et potentiels.
Suivez tous l’exemple de Apple. Ne pensez pas seulement à vos revenues et vos chiffres d’affaires. Pensez un peu à cette planète qui vous accueille et que vous détruisez chaque jour un peu plus. Devenons tous des citoyens amis de l’environnement.

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mardi 10 février 2015

L’Allemagne et son excédent de commerce extérieur : une très bonne performance dans une zone en crise

En 2014, le commerce extérieur allemand a réalisé un bon excédent. Il a même dépassé les 200 millions d’euros alors que la zone euro galère pour reprendre son souffle et sa croissance.
La baisse des prix du pétrole a sûrement contribué à l’amélioration de la balance commerciale du pays d’Angela Merkel ; cependant, ce n’est pas la seule raison. En effet, cette super-performance allemande est due à la progression de ses exportations beaucoup plus que ses importations. Même ses exportations vers les pays de la zone euro ont augmenté et ce malgré, je le redis encore une fois, la crise économique que connait la région et les difficultés qu’elle a pour reprendre sa croissance.


Le commerce extérieur allemand n’est pas le seul à progresser. Pour l’année 2014, le PIB a augmenté de plus de 1%, portant ainsi les prévisions de croissance pour l’année 2015 à 1.5%.
Grâce à cette situation économique fleurissante, de nombreux emplois seront crées et le taux de chômage sera ainsi baissé.
Le ministre de l’économie a devancé toutes les critiques éventuelles concernant la faible consommation des ménages allemands en soulignant que c’est la demande interne qui sera la locomotive de la croissance allemande. Plusieurs facteurs viennent appuyer ces déclarations : la baisse des prix de pétrole, la mise en place d’un salaire minimum qui va entrer en vigueur au début de l’année 2015, l’augmentation des pensions de retraites, etc.
L’économie allemande se porte bien. Rien d’étonnant quand il s’agit de ce pays. Les échanges internationaux du pays sont en excellente forme peut être parce que le pays sait négocier et conclure ses accords commerciaux. Ils le sont aussi parce que le pays, à mon avis, a su construire une image d’un pays offrant des produits d’excellente qualité. Avec le temps, et dans l’esprit des consommateurs à travers le monde, les produits allemands sont devenus synonymes de qualité et de robustesse.
L’Allemagne a su véhiculer son image de pays ultra performant grâce au sport aussi. L’histoire du football prouve de quoi la Mannschaft  peut-être capable. Leur discipline et leur efficacité sur le terrain ont toujours fascinées les amateurs du ballon rond.
Les analystes économiques peuvent passer des siècles à analyser pourquoi la santé de l’économie allemande est bonne. Ils peuvent nous sortir des chiffres et des statistiques. Mais moi, je vois que la principale raison derrière la performance allemande plus simple que tout cela. La performance de l’Allemagne est due avant tout au sérieux de son peuple qui a su se reconstruire après son effondrement pendant et après la deuxième guerre mondiale. C’est un pays qui est passé par plusieurs crises mais qui a toujours fini par se relever. Ces dirigeants et responsables ont toujours pensé aux intérêts du pays au lieu de penser à leurs intérêts personnels. Ils n’ont pas hésité à faire des changements et des réformes lorsqu’il était nécessaire, même si cela leur a valu une perte de notoriété et de popularité. Car parfois, le peuple ne voit que le court terme et refuse des changement, douloureux certes, mais nécessaires. Ces hommes et ses femmes qui sont au pouvoir, ont réussi à associé le mot allemand à la qualité, le sérieux et surtout au patriotisme.
Les causes des excédents de l’économie allemande sont le fruit de longues années de durs labeurs. C’est un très bon exemple à suivre par tous les pays qui veulent faire du benchmarking afin de développer leur économie. C’est aussi une bonne leçon de patriotisme dont certains en ont vraiment besoin. Je parle de toute personne qui met ses propres intérêts avant ceux de son pays et puis elle attend le miracle du développement économique et social.
Pour avancer il faut bouger, mais surtout se donner à fond. Intégrité, sérieux et efforts continues sont la voie pour tout développement que ça soit économique, social ou personnel.
Toutes mes félicitations, Allemagne, pour ces très bons résultats économiques. Ils sont bien mérités.

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lundi 9 février 2015

HSBC: La filiale suisse de la banque britannique au cœur d'une affaire d'évasion fiscale.

HSBC private Bank, la filiale suisse du deuxième groupe bancaire mondiale est impliquée dans une affaire d'évasion fiscale.
Difficile de passer à côté du sujet, toute la presse mondiale en parle.
Les articles publiés par Le Monde sont à l'origine de l'éclatement de cette affaire et depuis, le sujet a été repris par la presse internationale car plusieurs nationalités sont impliquées. Quant aux profils, ils vont des sportifs aux politiciens et hommes de pouvoir en passant par les médecins, les businessmans et les héritiers de grandes maisons de la haute couture.
Les données publiés par le monde se basent sur des informations qui lui ont été communiquées par un ex-employé de la banque.
En se basant sur les informations communiqués par cet ex-employé de la HSBC suisse, on accuse la banque d'avoir participer à une opération d'évasion fiscale à l'échelle planétaire. Les montants avancés dépassent de loin les 100 milliards d'euros. Cette affaire survient à un moment où plusieurs pays du monde font appel à la coopération inter-bancaire, à l'échelle planétaire, afin de faire face à l'évasion fiscale.  
De plus de l'évasion fiscale, cette affaire nous pousse à nous poser des questions sur la protection des nos données bancaires et sur la fiabilité des systèmes financiers quant à la protection des comptes de leurs clients et leur identité. 
les profils des clients de HSBC sont de gros calibres et pourtant, leurs données ont été divulguées et dévoilées au grand public. Qu'est ce qu'il en est alors de nos informations, nous, simple citoyens? Devons nous craindre pour la sécurité de nos comptes bancaires et de leur contenu? Toutes ces questions me font froid dans le dos.
 Mon article ne fait que présenter cette nouvelle qui est à la une de plusieurs journaux. Je n'émet aucun jugement car c'est difficile d'accuser toutes ces personnes d'évasion fiscale alors qu'aucune enquête officielle n'a prouvé leur culpabilité. Peut être aussi que plusieurs d'entre elles avaient les autorisations nécessaires pour ouvrir ce genre de compte ou qu'elles ont procédés à la régulation de leur situation auprès des services de fiscs de leurs pays.
Une chose est sûr, tout le monde est aux aguets pour connaître la fin de cette histoire très critique par sa taille et par les profils qu'elle implique.

dimanche 8 février 2015

Quand l’admission à l’université passe par un coach

Il y a quelques années, le concept du coaching a envahi le monde du business. 
Pour réussir dans le monde des affaires, pour gérer son stress, pour faire ceci, pour faire cela, faites appel au service d’un bon coach et vous allez réussir. Même le cinéma a exploité le concept. Le coach, un film de Olivier Doran, en est un bon exemple.
Après avoir fait le tour du monde des affaires, le coaching s’est développé dans d’autres domaines. Ainsi, on trouve maintenant des coachs qui sont là pour soutenir et accompagner les étudiants dans leurs quêtes du savoir.
En France par exemple, le concept n’est pas nouveau. Ce business a eu le temps d’apparaitre et de se développer. Maintenant, les étudiants ne sont plus obligés de galérer tous seuls pour préparer leurs admissions aux universités les mieux classées à l’échelle mondiale. Ils peuvent faire appel à un spécialiste afin de guider leurs pas et leur permettre de se préparer aux différents tests exigés par ces établissements.
Le concept en lui-même me plait. Je me rappelle la confusion et le doute dans lesquels je pataugeais au lycée. A l’époque, l’information concernant les universités et les grandes écoles était moins abondante et il fallait rester vigilent pour ne pas rater la date limite de dépôt de dossier dans tel ou tel établissement.
Actuellement, et grâce à internet, les choses sont devenues beaucoup plus faciles. Cependant, quand il s’agit de partir étudier à l’étranger, le service d’un coach ne sera pas de refus. Les personnes qui ont déjà vécu l’enfer de préparer les dossiers d’admissions pour leurs études universitaires seront sûrement du même avis que moi. Une recherche ciblée aurait pu leur faire gagner beaucoup d’effort et d’argent.
Avec des frais relativement élevés, je crois que ce service pourra quand même trouver des clients. Après tout et pour la majorité des cas, si on a les moyens de se permettre des études supérieures dans des universités prestigieuses, on peut facilement s’offrir les services d’un coach pour des recherches plus efficaces et efficientes.
Pour conclure cet article, je tiens à vous faire une confession. Je ne cesserai jamais d’être fascinée par l’ingéniosité des gens qui créent des opportunités là où d’autres ne voit que du flou. Qui aurait pu pensé qu’offrir un service d’accompagnement aux étudiants pour leurs études supérieures pourra devenir un business en bonne et due forme et rapporter des coquettes sommes d'argent.   La créativité de certains continuera toujours de m’impressionner. Mes respects à ceux qui réussissent là ou d’autres n’osent même pas essayer.

vendredi 6 février 2015

La technologie implantée sous la peau des salariés : ces petites puces qui s’invitent chez nous

Décidément, j’ai un faible pour les nouvelles en relations avec la technologie. Après mon article sur les accessoires des smartphones et leur rôle de laboratoire ambulant pour dépistage de la syphilis et du sida (voir " Quand les smartphones se transforment en laboratoires ambulants" Lire l'article ), aujourd’hui j’aimerai vous parler des puces qu’on implante sous la peau des salariés de certaines entreprises.


Non on n’est pas dans un film futuriste. On est dans la vie normale où une entreprise d’immeubles de bureaux high-tech veut implanter des puces dans la main de ses employés afin de remplacer le très traditionnel badge d’entrée. Ainsi pour une pénétrer dans les locaux de l’entreprise ou utiliser certains de ses services, il suffit de présenter sa main où une puce de la taille d’un grain de riz est implantée.
En bon dirigent, le président du groupe a été le premier à se faire implanter le « nouveau badge ». Donner l’exemple est beaucoup plus efficace pour convaincre. Beaucoup plus que les paroles.
L’entreprise affirme que son objectif n’est pas de ficher ses salariés mais de leur faciliter la vie à l’intérieur de l’entreprise grâce à la petite puce. L’article ne dit rien sur le taux d’adhésion des employés à l’idée, mais personnellement, je n’aurais pas aimé qu’on m’implante quelque chose sous la peau pour pouvoir ouvrir la porte d’entrée ou utiliser l’ascenseur. (Le Figaro. Fr)
L’idée  que j’ai de la technologie est de pouvoir utiliser des machines et des gadgets super performants afin de nous faciliter la vie de tous les jours et nous permettre d’économiser le temps et l’énergie qui pourraient être utilisés ailleurs. Avoir une puce implantée sous ma peau n’a, à mon avis, aucune valeur ajoutée par apport aux anciens badges. Même le risque d’oublier son badge ne constitue pas à mes yeux une raison valable pour qu’on m’implante quelque chose sous la peau. Ces puces peuvent mêmes avoir des effets secondaires sur la santé des employés. Qui sait ?
Ce genre d’innovation va permettre à ses inventeurs de réaliser un bon chiffre d’affaires, surtout si les clients sont de grandes boites, adeptes des nouvelles technologies.
J’aime la technologie certes, mais je ne veux pas que mon quotidien se transforme en un film de science-fiction avec des puces implantées partout.
Bref… je souhaite une bonne chance à cette entreprise pour convaincre ses employés. J’espère qu’on aura des nouvelles sur le degré de leur implication dans ce changement technologique. En même temps je me demande « what is next » ? Des comprimés magiques pour remplacer la nourriture ? La téléportations ? Et a quel prix ?
Décidément, La technologie aura plus d’un tour dans son sac, surtout si l’imagination et la créativité peuvent ne pas avoir de limites surtout si cela pourra permettre de réaliser un bon chiffre d’affaires.

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jeudi 5 février 2015

Quand les Smartphones se transforment en laboratoires ambulants

Les smartphones  sont devenus une sorte de laboratoire ambulant. Oui, vous avez très bien lu. On peut maintenant dépister deux MST grâce à son téléphone : le sida et la syphilis.
Vous êtes surpris ? Moi aussi je l’étais et le suis toujours d’ailleurs.
Selon un article paru dans Le Monde.fr, des ingénieurs américains ont inventé pour les smartphones, un accessoire qui peut jouer le rôle d’un laboratoire et dépister rapidement deux maladies sexuellement transmissibles : la syphilis et le sida. L’accessoire, qui peut aussi être brancher sur ordinateur, a été testé par des personnels de santé en Afrique. (Le Monde.fr du 05 février 2015)
Le nouvel accessoire est à la portée des clients, mêmes ceux avec un petit budget. Sont coût de fabrication est de 30 euros. Pas vraiment cher le nouvel accessoire.
L’idée me plait beaucoup et j’espère que le nouveau gadget réussira à démontrer sa performance. Si l’accessoire prouve son efficacité, on verra surement le taux de contamination par MST diminuer. Les MST sont un sujet tabou pour beaucoup de gens et effectuer ses analyses par soit même est plus discret et permettra de détecter et de soigner plus facilement ces maladies dangereuses.
La réussite de l’accessoire permettra à ses inventeurs de faire fortune. Une fortune qui, à mon avis, est  bien méritée. Qui aurait pu croire qu’un jour, il serait possible d’avoir son propre laboratoire ambulant grâce à son smartphone ? Personne.
Cependant, je me demande comment les laboratoires vont prendre la nouvelle. La généralisation de ce genre de gadget médical réduirait leur chiffre d’affaires à la baisse. Si aujourd’hui on peut détester la syphilis et le sida, demain peut-être on pourra dépister d’autres maladies grâce à un accessoire pour téléphone. Ainsi, un jour viendra où on n’aura plus besoin de patienter des heures durant, pour pouvoir analyser son taux de cortisol où savoir si le niveau du cholestérol dans son sang est élevé.
A la fin de l’article, il ne me reste que féliciter la technologie qui rend notre vie chaque jour encore plus facile. Je veux aussi souhaiter bonne chance pour les laboratoires traditionnels qui doivent faire appel à toute leur créativité pour faire face à cette nouvelle génération de laboratoire ambulants. C’est vrai, pour le moment cela ne concerne que deux maladies et les pertes ne seront pas énormes, mais il vaut toujours mieux prévenir que guérir.

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