HSBC private Bank, la filiale suisse du deuxième groupe bancaire mondiale est impliquée dans une affaire d'évasion fiscale.
Difficile de passer à côté du sujet, toute la presse mondiale en parle.
Les articles publiés par Le Monde sont à l'origine de l'éclatement de cette affaire et depuis, le sujet a été repris par la presse internationale car plusieurs nationalités sont impliquées. Quant aux profils, ils vont des sportifs aux politiciens et hommes de pouvoir en passant par les médecins, les businessmans et les héritiers de grandes maisons de la haute couture.
Les données publiés par le monde se basent sur des informations qui lui ont été communiquées par un ex-employé de la banque.
En se basant sur les informations communiqués par cet ex-employé de la HSBC suisse, on accuse la banque d'avoir participer à une opération d'évasion fiscale à l'échelle planétaire. Les montants avancés dépassent de loin les 100 milliards d'euros. Cette affaire survient à un moment où plusieurs pays du monde font appel à la coopération inter-bancaire, à l'échelle planétaire, afin de faire face à l'évasion fiscale.
De plus de l'évasion fiscale, cette affaire nous pousse à nous poser des questions sur la protection des nos données bancaires et sur la fiabilité des systèmes financiers quant à la protection des comptes de leurs clients et leur identité.
les profils des clients de HSBC sont de gros calibres et pourtant, leurs données ont été divulguées et dévoilées au grand public. Qu'est ce qu'il en est alors de nos informations, nous, simple citoyens? Devons nous craindre pour la sécurité de nos comptes bancaires et de leur contenu? Toutes ces questions me font froid dans le dos.
Mon article ne fait que présenter cette nouvelle qui est à la une de plusieurs journaux. Je n'émet aucun jugement car c'est difficile d'accuser toutes ces personnes d'évasion fiscale alors qu'aucune enquête officielle n'a prouvé leur culpabilité. Peut être aussi que plusieurs d'entre elles avaient les autorisations nécessaires pour ouvrir ce genre de compte ou qu'elles ont procédés à la régulation de leur situation auprès des services de fiscs de leurs pays.
Une chose est sûr, tout le monde est aux aguets pour connaître la fin de cette histoire très critique par sa taille et par les profils qu'elle implique.
Bien vue
RépondreSupprimerje crois sincèrement qu'il ne faut accuser personne avant qu'une enquête menée en bonne et due forme, prouve sa culpabilité. Pas seulement pour les gens influents, mais pour tout citoyen de la planète terre qui risque de se trouver un jour sur le banc des accusés
SupprimerUne personne innocente n'a rien à craindre !
RépondreSupprimer1- Cette affaire me prouve que rien est au dessus de la Loi ! Le gouvernement britannique a ouvert une une investigation approfondie sur toutes les branches européennes et américaines Comme l'enquête est toujours en cours sur le chairman et le D.G de la banque ce dernier a récemment remis en question devant le Parlement britannique et a révélé qu'il a un compte bancaire au Panama
2- En ce qui concerne notre chers pays je me demande quel rôle joue l'office de change ? Est-ce que la loi s'applique à tous sans exception ?
Il y a beaucoup de questions sans aucune réponse crédible !
Je suis d'accord que personne n'est au dessus de la loi. Cependant, c'est dur d'accuser directement des Noms. Je suis d'accord avec la démarche du gouvernement britannique. Il a ouvert une investigation en bonne est due forme et si les résultats de cette investigation sont accablantes, personne ne pourra discuter.
RépondreSupprimerJe reste méfiante quand il s'agit d'un article dans un journal parce que comme tu sais, parfois il peut avoir des raisons cachées, politiques ou autre, derrière la publication de telle ou telle information.
L'investigation des journalistes nous a appris qu'il y a quelques choses qui cloche chez cette banque. Pourtant, je ne suis pas d'accord pour citer les noms des gens tant que la justice n'a pas donné une preuve formelle de leur implication dans cette affaire.
Il y a certaines de ces personnalités qui ont répondu au journal et lui ont expliqué que leur compte son légaux. D'autres ont affirmé qu'ils avait régularisé leur situation. C'est pour ça que j'insiste sur le fait de ne jamais accuser directement une personne alors qu'on pas les preuves formelles de sa culpabilité.